Sonntag, 5. Juli 2009

Une excursion sucrée en Suisse

Le mois dernier, j'ai visité la fameuse usine de chocolat, Chocolat Stella, à Kreuzlingen avec mon amie H. Ce jour, il a fait très chaud. En fait, ce n'était pas un jour appropié pour acheter du chocolat. Mais notre appétit et notre curiosité étaient plus forts que notre raison. Nous nous sommes rencontrées à la station. Là, nous avons pris le bus à Kreuzlingen. Pour moi, il était la premiére fois que je faisais une excursion en Suisse. C'est pourquoi j'étais très curieuse de decouvrir le monde des Suisses. A l'arrêt de bus nous sommes allées à l'usine de chocolat. C'est-à-dire, nous avons voulu y aller. En realité nous nous sommes perdues. Heureusement, nous avons pu demander le chemin à une piétonne. Après la Suisse gentille nous avons montré le chemin, il n'était pas très loin et nous sommes arrivées à notre but. Nous avons eu en nage, mais trés contentes et nous nous avons réjoui de visiter l'usine. Malheureusement, les employées nous ont informées qu'en Suisse il est interdit d'entrer dans l'usine sans une autorisation spéciale. Nous avons pensé: "Quelle dommage!" et nous allions sortir alors que nous avons découvert la pâtisserie de Chocolat Stella. Là, nous avons acheté du chocolat le pur, le frais et le spécial que possible. C'était mieux que rien. Mais nous avons ésperé que le chocolat ne fondrais pas pendant notre chemin de retour. C'est pourquoi faute de mieux nous avons dû manger la grande partie du chocolat. De cette manière nous avons pu transporter le chocolat précieux chez nous sans dommage. En résumé, c'était une belle journee!

(Remarques: Cette histoire n'éleve pas de prétentions de dire vrai. ;) )

Zwei schnelle Schönheiten

Mittwoch, 24. Juni, vor Bus und Uni auf die Schnelle noch einen Spaziergang durchs schöne Litzelstetten, Obstbaum- und Wäscheduft, Gras- und Zeitunggeraschel in atmosphärisch-morgenstimmiger Liaison, da vollenden den Morgen ganz unvermutet zwei unbeschwert spielende Katzen, obwohl er gerade erst begonnen hat, formulieren den Flair auf den Punkt genau, wenn doch nicht sprachlich, wohl aber kätzisch die Flüchtigkeit selbst verkörpernd. Welch' besondere Ehre kommt mir zuteil, dass ich mal eine Berührung erhaschen darf, von der ich aber ob ihrer Transienz nicht einmal sicher bin, ob ich sie tatsächlich als solche bezeichnen darf.
Da Busse im Allgemeinen auch sehr flüchtig sind, bleibt es bei dieser kurzen, aber schwerwiegenden Begegnung. Wiederholung aber nicht ausgeschlossen...